Alexy C. Parker - 'Le meilleur moyen de résister à la tentation est d'y céder, alors vas-y cède'.

Bonjour, je m'appelle Alexy ! Je suis né(e) le 21 mai 1983, en France. Plus précisément à Saint-Tropez. Aujourd'hui j'ai donc 18 ans. Je suis grand(e), n'est-ce pas ? En ce moment, j'habite à Sydney, en Australie. J'adore cet endroit parce que cette ville signifie le nouveau départ de ma vie. Je suis en étude de photographie ! Ah, au fait, je suis célibataire. Et pour finir, je suis photographe !

Issue d'une famille bourgeoise, j'ai toujours vécu dans le luxe et l'argent. Mais est-ce une bonne raison pour être heureux ? Est-ce que l'argent fait forcément le bonheur ? Je ne crois pas, il y contribue certes, mais argent ne rime pas forcément avec le bonheur, pas quand votre père est un psychopathe assoiffé de violence et de sexe. Ma vie n'a jamais était un comte de fée, la petite famille riche heureuse, aimante et unis n'est qu'un vieux cliché de film ! J'ai grandi dans une magnifique maison à Saint-Tropez, genre château avec vue sur la mer, grand jardin rempli de rosiers, du personnel là pour exécuter mes moindres désirs, mais lorsque le soir vînt et que le personnel prend congé, que la porte de la maison est fermée et qu'enfin vînt l'horrible moment de l'arrivée de mon père qui sort du travail, la maison paisible des films cul-cul, se transforme en véritable film d'horreur. Mon père à un penchant pour l'alcool, il est malade, il est alcoolique, voyez-vous, cette maladie le rend méchant, horriblement méchant et violent, pervers même. Mais traumatisée par tout ce qui se passe à la maison ? Comment voulez-vous sortir de l'enfer des coups et des viols, comment voulez-vous ne pas pleurer toutes vos larmes de votre corps quand vous entendez votre père se réveiller dans la nuit et se diriger vers votre chambre où vous être censée dormir, sauf que dans ces cas-là on ne dors plus, on craint chaque minute qui passe, jusqu'au moment où il vient se glisser sous vos draps pour faire des choses obscènes avec votre corps d'enfant, ce calvaire à commencer dès mon plus jeune âge, dès l'âge où mon père n'était plus satisfait par ma mère et me trouvais si mignonne qu'il avait trouvé le moyen de se vider plutôt que de se payer une traînée ou bien même de se trouver une maîtresse et voilà que lorsqu'il ne me ruée par coup, il prenait du bon temps sur mon jeune corps âgé à peine de 12 ans, je me taisais, je pleurais, ma mère n'a jamais était au courant de ce qu'il pratiquait sur sa jeune fille, j'ai tût ce crime pendant sept ans j'ai supporté ses crises et ses coups, malgré les cris de ma mère qui lui disait d'arrêter de me frapper seulement quand elle avait le malheur d'ouvrir la bouche, c'est sur elle qui continuait à se défouler, je suis souillée et meurtrie. Ma plus grande passion était la photographie et les cours, enfin je n'aimais pas particulièrement les cours en réalité c'était le seul endroit où je me sentais en sécurité, mon seul échappatoire. Mais vous savez une histoire comme celle-là, est toujours empirée avec le temps, désespérée et brisée pour le restant de mes jours, je trouve un nouvel échappatoire plus violent que l'école ou la photographie... La drogue. Qu'est-ce que c'était bien de se sentir légère, légère au point de ne plus réalisée ce qui se passe autour de vous. Je ne me rendais même plus compte de ce qui se passer lorsque je rentrée chez moi, même si maintes fois j'ai bien essayé d'y échapper par deux solutions, j'ai plusieurs fois essayer de mettre un terme à mes jours, mais seulement quand ce n'était pas le courage qui me manquait, c'était que l'on me retrouverait ensanglantée, ou sous médicaments et qu'on m'obligeait à me laver l'estomac, j'ai tenté de fuguer aussi, mais toujours on m'a retrouvé, à croire que la vie voulais faire en sorte que je vive ce cauchemar à vie. La drogue, à était mon dernier échappatoire, un échappatoire qui aurais pût me conduire à la paix éternelle, j'étais à la limite de l'overdose quand ma mère à compris que je me droguais, et avant même les sermons la première chose qu'elle a fait est de prier dieu pour que je m'en sorte puis j'ai étais placée en centre à l'âge de 15 ans, c'est un jeune âge pour la drogue, j'aurais dû être normalement puni par la loi pour mes actes illicites et pourtant on a était clément avec moi, peut-être que les bleus sur mes bras les ont convaincus je ne sais même pas pourquoi on m'a fait cette fleur, les prières de ma mère sans doute. En tous les cas je sortis de cette cure deux années plus tard, 17 ans, j'avais échapper au calvaire pendant deux belles et magnifiques années, j'avais pût 'vivre' mais voilà que l'enfer devait reprendre, comme quoi le bonheur ne dure qu'un temps. Puis vînt les récents jours, lorsque j'eût mes 18 ans, je comprît que je pouvais enfin prendre mon envol, il m'a fallu bien du temps avant de me résigner à laisser ma mère. Puis un soir, mon père en voyage d'affaire et ma mère en conférence, je plia bagage, une lettre sur la table je partit, mes comptes bloqués pouvait me servir et mes parents n'y avais dorénavent plus accès et aucun droit dessus, j'avais de quoi vivre très convenablement jusqu'à me trouver un travail. Puis je vînt ici, voulant étudier ma passion à fond.

Un personnage meurtri, bléssé et traumatisé par la vie et son passé, c'est une personne qui ne supporte pas de faire vivre le mal aux autres alors qu'elle a vécu elle-même d'horrible choses dans sa vie. Elle à le coeur sur la main, et sera toujours là pour tous le monde, elle est bien trop gentille et confiante, et à l'inverse elle ne se confiera jamais à personne, mais quand on dis personne ce n'est vraiment personne. Amoureusement parlant, nous ne détenons aucune information sur la jeune femme, aucune liaison amoureuse n'a était dite, et nous ne savons pas si elle est jalouse ou possessive, la seule chose que l'on peut supposé c'est que c'est une personne tendre, attentionnée, qui ne veut surtout pas voir la souffrance dans les yeux de quelqu'un qu'elle aime. C'est une personne forte qui montre très rarement c'est sentiments, au premier abord même froide, elle pourraît preque paraître associable. Pourtant quand on creuse bien la personnalité et le coeur d'Alexy, plusieurs faces cachés se dévoilent, notamment une grande sensibilité et fragilité psychologique, qui peut la conduire à être violente moralement, même si elle ne veut pas, elle pleure souvent quand elle s'énerve, et s'excusera milles fois si elle blesse quelqu'un, à cause de son passé, elle à l'impression parfois de n'être qu'un monstre parce qu'on dis souvent 'tel père, telle fille'. Alexy est une fille à parfois un peu ménagée, faute de connaître ses réactions face à certaines situations difficile, elle garde un caractère très fort qui lui permets de surmonté les épreuves les plus durs, le vécu fait le caractère c'est vrai on dis bien que c'est en forgeant que l'on devient forgeron...